Qu'est ce que le Nationalisme ?

« Le nationalisme français incarne la doctrine politique qui entend œuvrer à la continuité de la France dans l’acceptation de tout son passé. Résolument tournés vers l’avenir, les nationalistes français travaillent chaque jour leur propre volonté. Ils acceptent librement d’être les maillons d’une chaîne ininterrompue qui a fait l’histoire de notre pays. Ils sont les instruments d’une histoire bimillénaire qui ne doit pas s’interrompre. Nous sommes de ceux-là.»

DOCTRINE ET ETUDES



LE NATIONALISME




L'Homme dans la nation, la réalité nationale, l'éthique nationaliste.



A la fin du XVIIIème siècle, un ensemble très ancien de conventions sociales disparu : de l'effondrement de cette société sont sortis le libéralisme et le communisme, ces deux frères ennemis. Après l'échec total du communisme à l'Est, la démocratie libérale, à son tour, agonise à défaut d'avoir su créer une société nouvelle sur des bases naturelles. Aujourd'hui, il ne reste qu'un embryon de société où la matière a tué l'esprit, où le désordre a chassé la civilisation, où le plaisir a annihilé tout élan collectif, où l'hypocrisie et le cynisme ont remplacé la franchise et la vérité.



Face à la désintégration irrémédiable du système, la solution est dans une refonte totale de la société et dans l'application de la doctrine nationaliste.



L'HOMME DANS LA NATION



L'homme n'est pas cet individu anonyme qui, selon la conception démocratique, abdique sa personnalité et sa valeur devant l'injuste loi égalitaire, pour se limiter à un simple rôle de producteur et de consommateur.



Il n'est pas, non plus, cette machine un peu plus perfectionnée que les autres qui, selon la conception marxiste, est motivée par des forces économiques et ballottée par un « sens de l'histoire » dont il ne serait pas le maître.



L'homme ne prend sa signification qu'au sein d'un ensemble de communauté naturelle : la Famille qui l'élève, le Travail qui le nourrit et la Nation qui le protège. Il prend place dans une chaîne historique dont il est un maillon. D'autres hommes qui l'ont précédé lui lèguent au jour de sa naissance puis par son éducation, un héritage à défendre, si possible, à améliorer et qu'à son tour, il transmettra à ceux qui le suivent.



Il forge son destin en se rendant d'abord maître de lui-même. Ensuite il trouve sa place dans cette hiérarchie naturelle des valeurs par ses compétences et ses mérites. La volonté de l'homme et le savoir de l'homme le rendent maître des forces matérielles, maître de l'économie, maître des situations qu'il peut transformer.



LA REALITE NATIONALE



Un ensemble de connaissances observées depuis l'origine de l'espèce humaine donne l'explication complète d'un certain nombre de faits et permet de trouver les solutions les mieux adaptées aux besoins permanents d'un État en particulier ou d'un type d'individu, différent par nature.



Il ne s'agit pas de découvrir des vérités nouvelles, mais de parvenir à utiliser des vérités bien établies pour répondre aux questions d'actualité. Les vérités premières et les positions politiques qui en découlent ne dépendant pas du contexte psychologique ou économique, qui change d'un siècle à l'autre, voire d'une décennie à l'autre.  



Ces vérités tiennent leur origine de la nature humaine et des obligations immuables de la vie en société. Les circonstances changent et en même temps s'ajoutent les difficultés supplémentaires crées par elles ; mais les vérités premières demeurent seules capables d'apporter la meilleures solution aux interrogations qui se posent à différentes époques, dans des situations nouvelles.



Le nationalisme n'est pas une construction intellectuelle. Ce n'est pas une idéologie ou une utopie et encore moins une église que l'on constitue. Le nationalisme, c'est la compréhension des règles qui ont permis à notre nation de se constituer et dont l'oubli ou la négation entraînent la décadence et la désagrégation. En conséquence, un nationaliste est un homme activement engagé dans la lutte pour la défense et l'illustration de sa nation.



L'ETHIQUE NATIONALISTE



Plus qu'une politique, le nationalisme est une poésie, une espérance que l'on peut rejeter au risque d'un dessèchement ou d'une négation de l'âme. Il est aussi un style de vie, une éthique. Face au désordre général qui règne aujourd'hui dans tous les domaines, le nationalisme restaure les valeurs indispensables à une bonne hygiène de vie.



Pour s'y retrouver, la règle générale consiste à donner constamment sa priorité au national sur l'étranger, aux principes sur les princes, aux idées sur les individus, à la sélection sur l'élection, à la politique sur l'économique, au talent sur l'argent, à l'ordre sur le changement, à la réflexion sur le réflexe, à la qualité sur la quantité, à la beauté sur l'utilité.



EN RESUME



L'homme ne prend sa signification qu'au sein d'un ensemble de communautés naturelles : la Famille qui l'élève, le Travail qui le nourrit, la Nation qui le protège.



Il s'inscrit dans une chaîne historique dont il est un maillon. A sa naissance, il hérite de ses ancêtres, d'un patrimoine à défendre et à améliorer, puis qu'à son tour il a à transmettre.



Le nationalisme est l'expression politique, conséquent et nécessaire, du patriotisme. Il procède de la connaissance des règles de vie en commun, qui ont permis à la France d'être et de durer, et dont l'oubli ou la négation entraîne sa déchéance.



Il se fonde sur un ensemble doctrinale possédant comme référence l'esprit de la remise en ordre de l'Etat à l'époque du Consulat de Bonaparte, la mystique du territoire prônée par Barrès, l'empirisme organisateur de Maurras, les nouveaux aperçus sociologiques révélés notamment par Drumont, Carrel, Coston, Bardèche.



Il se résume dans une phrase de douze mots :


Le nationalisme, c'est de résoudre chaque question par rapport à la France.

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Nos grandes fêtes Nationales:


VICTOIRE FRANÇAISE  1914 - 1918


chant : Verdun ! On ne passe pas !




Le 11 novembre 1918 à 10h50, dix minutes avant le cessez-le-feu, le soldat Pierre Trébuchon est tué sur les bords de la Meuse à Dom-le-Mesnil. C'est le dernier mort français de la Première Guerre Mondiale. A 11h00, pratiquement au même endroit, on sonne le cessez-le-feu.


L'armistice est signé à 05h10, d'abords par les Allemands, puis par le Maréchal Pétain dans la clairière de Rethondes. Le cessez-le-feu, à 11h00, est sonné par le sergent Delaluque, clairon du 415ème Régiment d'Infanterie, qui a conquis la veille au soir le village de Vrigne-Meuse dans les Ardennes.
"Au 54ème mois d'une guerre sans précédent dans l'histoire, l'armée française, avec l'aide de nos armées alliées, a consommé la défaite de l'ennemi. Nos troupes, animées du plus pur esprit de sacrifice, donnant pendant quatre années de combat ininterrompus l'exemple d'une sublime endurance et d'un héroïsme quotidien, ont rempli la tâche que leur avait confié la Patrie" écrira le Maréchal Pétain dans son communiqué.

Le Maréchal Foch, en ce jour de la Saint-Martin, fait déposer dans la crypte de Saint-Martin-de-Tours une plaque ex-voto, ornée d'un drapeau tricolore et du Sacré-Cœur de Jésus.



Maréchal Pétain, Maréchal Castelnau et le Maréchal Joffre



A la veille du centenaire commémorant le début d'une guerre qui fit plusieurs millions de victimes, nous, nationalistes, honorons la mémoire de ces Français qui ont su affronter leur destin lorsque la France était en danger. Cette guerre qui n'était pas voulu par les peuples, qui n'était pas voulu par les patriotes et nationalistes de ce temps, était une guerre voulu par les loges maçonniques destructrices des nations et aux ordres de la finance apatride et cosmopolite que nous subissons encore aujourd'hui. 
Bon nombre de patriotes et de nationalistes (comme les membres d'Action Française) sont malgré tout partit au combat pour défendre, non pas la Gueuse troisième qui nous mena directement à cette guerre, mais pour défendre cette France des terroirs et des clochers vieille de plus de 1500 ans!
Cette horrible guerre, nous donnera tout de même des héros et donc des exemples à suivre. Même si aujourd'hui, nous ne sommes plus dans les tranchées à nous battre à la baïonnette, le combat continu contre ces brigands qui pullulent dans les institutions nationales, qui pullulent dans les coulisses du pouvoir et qui mettent tout en œuvre pour anéantir ce qui reste de notre Belle et Sainte France. En 1793, nos ennemis firent tuer le Roi de France Louis XVI et supprimèrent le symbole de l'unité nationale. En 1905, ils proclamèrent la séparation de l’Église et de l’État et éloignèrent donc le corps moral de la société. En 2013, voilà qu'il attaque la dernière et principale fondation de la patrie, la famille, en légalisant le mariage des pairs homosexuelles et l'adoption par ces derniers.

Alors que la bataille fait rage, n'oublions pas ces mots d'espoir qu'un Général dit à ses Poilus lors de la bataille de Verdun: "Courage! On les aura!"